Chavez, comme un de Gaulle, n’était visiblement pas un pantin piloté par le patronat sans frontières qu’on l’ appelle mondialisation ou nouvel ordre mondial.
Ce n’est évidemment pas le cas de la plupart des hommes politiques de « premier plan », qui ne sont que des potiches que l’on élit pour se donner l’illusion que l’on peut agir sur quelque chose.