En ces temps de crise et de chômage, quoi de mieux que de promettre aux cerveaux, diplômés ou non, un emploi, pourvu qu’il s’agisse de délation au service d’un régime totalitaire ?
L’avenir de l’emploi dans notre société mondialisée, c’est la délation en tout genre. Et autres conneries qui n’en était pas.
C’est de cette façon là même que le sport est devenu une profession.
Parce qu’on ne sait pas concevoir une société sans le sacro-saint emploi et sa fonction de répartition de l’économie monétaire.
Notre situation s’apparente un petit peu à une espèce qui nécessite de s’adapter à un nouveau climat qui remet en question sa survie. L’espèce en question nécessite d’évoluer dans le bon sens des choses en lâchant quelques attributs devenus superflus voire totalement inappropriés. Ces choses là par lesquelles notre civilisation a juré depuis tout jour.
Ces fondements-là même qu’on considère si solides sont devenus bancals.
Alors on entretien un système avec tout c’qu’on peut trouver, même si c’est aberrant.
Les gens diront oui. Parce que, par les temps qui courent, « c’est mieux que rien. ».