Lorsque le 2 avril j’ai lu sur Cahuzac, j’ai cru à un poisson
d’avril de la veille. Pas plus que je ne puis croire qu’il y a des
pédérastes et plus encore des pédophiles parmi les prêtres ou bien des
voyous dans la police, je ne puis imaginer qu’il y ait des menteurs chez les
hommes politiques, surtout investis par un parti politique. Et que celui qui
est en cause soit justement du parti de la morale et de la haine des riches
soit de plus un fraudeur, ça me laisse pantois. (tiens, pends-toi, c’est ce
qu’on pourrait conseiller au Dr Cahuzac, se suicider comme son confrère
de l’émission de TF1 qui n’avait probablement rien à se reprocher)