« Le bilan est là : un pays paranoïaque s’enfonce chaque jour davantage dans sa véritable maladie mentale : incapable de réformer son commerce intérieur des armes, qui transforme un grand nombre de ces concitoyens en terroristes potentiels »
Ce qui transforme ce pays tient plus dans sa nature proprement injuste. Car l’enfer du décor existe, pour deux trois gus qui font fortune, le reste est surtout de l’esclavage qui ne dit pas son nom.