Rêvasser, épurer ma
pensée, pour mieux révéler son vrai message.
Elle se doit d’être
clairvoyante, ou elle me fera défaut.
Sans blanc de vérité,
d’œuvre essence, la métaphore s’oublie, et est à force retrouvée.
Et sur terre, l’homme
étale son savoir des arts, me laissant gland, laid de ma soif et de s’en
saouler.
Bons baisers est
l’âme hors, celle des eaux trépassées.
Je viens donc
m’alarmer, mais pas sans art, me voilà enfin.
Ici, mon art m’encre
et mon art m’honore, me dépasse, aimant les limites, s’en limite à lui seul.
Mon esprit dit
« vague » à tous les mots de l’âme, sans vague à l’âme.
Comment n’en faire
qu’un texte double ?
Ma pensée me
surprendra, paix à l’âme, paix à tous, et paix chez Dieu.
Génie, qui as-tu
éclairé de ta lampe ?
Aux vraies lueurs,
passent les faux-semblants de vie.
Haine de pierre, en
mon cœur dort.