bonsoir l’auteur,
« Alors que la situation en Grèce tourne au désastre dans l’indifférence quasi générale »
Le prétexte habituel : ça coûte cher et c’est mal géré. Mais en réalité, c’est pour faire 3 fois pire pour 3 fois plus cher ... mais avec une société privée.
La Grèce vient donc d’inaugurer le premier gouvernement qui ne peut plus s’exprimer que par le truchement de médias privés - le stade ultime de la privatisation totale.
Bientôt, il faudra dire « Grèce Inc. »