Jolie analyse.
Il est dommage d’oublier qu’au delà des mots il réussit la performance d’avoir un bilan désastreux (à ce niveau là normalement c’est la mort politique) partout où il passe et d’en faire l’instrument même de sa victimisation :
j’ai tout cassé mais c’est pas ma faute c’est la faute de (rayez la mention inutile en fonction du contexcte) les fonctionnaires / Les étrangers / les juges / les droits de l’hommistes / les anti américains / les fonctionnaires (ça revient souvent) / Les étrangers (encore plus) / Les pauvres (salopards de pauvres) / Les méchants patrons (mais surtout pas ses amis, comprendre "une entité dont j’ai vaguement entendu parler et que semblent craindre une partie conséquante des sondés) / les profs etc.
en gros il utilise exactement le discours du petit délinquant qui reporte toujours la faute sur l’autre (la société / L’éducation / les parents etc.)