Ce qui est remarquable, c’est que ceux qui attaquent le libéralisme sont incapables de définir l’anti-libéraliosme qu’ils revendiquent, sauf à refuser la concurrence libre et non-faussée, ce qui ne peut vouloir dire que deux choses :
Exiger une pseudo concurrence non libre, à savoir faussée par l’état disposant du monopole de la décision économique.
Refuser la concurrence et l’économie de marché au profit soit d’une non-économie du don gratuit administré centralement, soit d’une économie monnaitaire fusionnant le pouvoir politique et le pouvoir économique. Ce qui revient au même.
Dans tous les cas, bonjour le despotisme d’un état omnipotent dont les membres, c’est bien connu, commenceraient à se servir eux-mêmes aux dépens des autres, dès lors qu’ils bénéficieraient , quant à leur pouvoir économique, sinon politique, d’une situation privilégiée non-concurrentielle.
Toute les économies administrées par l’état contre le marché ne peuvent nécessairement terminer et ont historiquement terminé que comme cela : la dictature d’une minorité de fonctionnaires de l’état total sur l’ensemble des individus, an nom des intérêts transcendants d’un peuple introuvable.
C’est bien pour ne pas avoir à avouer cette imparable logique liberticide que les contempteurs du libéralisme se contentent de critiquer le libéralisme sans dire par quoi il faudrait le remplacer.