@Par aimable :
Tout à fait d’accord, et c’est d’ailleurs bien ce que je souhaitais mettre en exergue, c’est-à-dire la non-prise en compte dans la conception de ladite doctrine, de la nature intrinsèque de celui à qui elle était destinée (homo sapiens sapiens). C’est certes regrettable, mais à moins d’avoir l’outrecuidance de prétendre vouloir ou pouvoir reprogrammer le génome de 6 milliards d’êtres humains, la doctrine en question ne semble pas leur être adaptée.