Ne serait ce pas-là les effluves et remugles nauséabonds du libéral-fachisme qui pointe à nos portes ?
Pas de quartier pour les faibles... les pauvres... les malades... les sans-relations... les sans-appui... les sans-piston... et tous ceux qui ont l’audace de tenter de devenir des Hommes plutôt que rester des hommes.