Monsieur Soral, on l’aime ou on ne l’aime pas, mais reconnaissons-lui au moins le mérite d’éduquer des jeunes gens, parfois de cités, à une conscience politique, chose d’autant plus méritoire que nous vivons des temps de grandes désillusions idéologiques qui poussent certains au cynisme voire à une espèce de nihilisme... Mais il ne doit demeurer qu’une étape dans cet éveil politique, sinon, effectivement, gare à la casse ! Bonne journée à vous et merci pour votre article.