@ l’auteur
C’est la même Europe, qui, en cas de crise internationale, met six mois à se réunir, parler du problème, réunir 5 commissions, 46 sous-commissions pour finir avec brio... Par ne rien faire.
Je reste persuadé que le « oui » était la moins mauvaise des deux réponses possibles. Il aurait mieux valu essayer d’influer sur le futur que de ramer laborieusement à contre-courant. Pour finir en ce moment avec une France qui a le poids politique, dans le monde, de l’Albanie.
Cette Europe là est un monument à la gloire des technocrates.
Et de citer Coluche : « tu poses une question à un technocrate. Quand il a fini de te répondre, tu comprends plus la question que tu as posé ».
Cordialement