@HansVersair : D’abord merci pour avoir pris le temps d’écrire ce que vous avez cru bon d’écrire. Je me fais un plaisir d’y apporter quelques précisions dont certaines vont dans votre sens. Par exemple la corruption qui s’en dégage de plus en plus vient confirmer que l’Église n’a pas à être un pouvoir de domination, mais plutôt de service. Là où il y a pouvoir d’État, il y a pouvoir de domination et là où il y a pouvoir de domination, il y a corruption. C’est ce que je mets en évidence dans la première partie de mon texte.
Ma seconde observation va dans le sens où croyants et non croyants ou croyants en je ne sais trop quoi, ont en commun d’oeuvrer pour une humanité toujours plus juste, plus vraie, plus solidaire, plus compatissante. Sur ce terrain nous pouvons mettre à l’épreuve les convictions que nous portons. J’ai donné, dans la deuxième partie de mon texte, des exemples de témoignages de personnes qui ont plutôt servi que d’être servis.
Sur ce terrain toutes les options sont ouvertes sans que soit nécessaire de faire appel à quelques dieux que ce soit ou à quelques idéologies. L’humanité est là qui nous interpelle tous et toutes.
Que le terrain et l’engagement soient les lieux de nos rencontres.