Bonjour Wesson,
En effet, ridicule... Ils arrivent fatigués, hébétés, apeurés, bouleversés par la proximité des journalistes et des personnages politiques, anxieux de revoir leurs familles et les changements qu’elles ont pu subir en trois années, et l’on voudrait qu’ils saluent la foule avec de grands gestes et force sourires !
Mais j’y pense, s’il m’avait (malheureusement) été donné de faire partie de ces otages, en voyant la tête de Fabius et le costume de Hollande, j’aurais remonté le chèche jusqu’à mes yeux.
N’oublions pas qu’ils n’étaient guère préparés à tous ces visages nouveaux au sein du gouvernement.