Et si c’était la bande de mafieux de Kadyrov qui l’avait tuée ?
Voilà ce que disait la journaliste peu avant d’être assassinée (source : « La Croix ») :
« Ramzan Kadyrov a promis, en présence des membres de sa sécurité, de me tuer. Cet homme n’a pas de cerveau, seulement de la cruauté. Pour moi, ce serait un déshonneur de mourir sous sa main : une chose est de risquer sa vie pour son travail, une autre d’être tuée par un gangster ».
Vu que cet affreux dirige la Tchéchénie avec la bénédiction de Moscou...