Bonjour,
Merci pour cet article qui lutte efficacement contre les mots qui se tirent la langue, et plus généralement contre l’entropie du monde. Est-ce que vous connaissez le sentiment de tristesse qui étreint doucement le coeur lorsqu’on parle de quelque chose d’irrémédiablement révolu ? C’est ce sentiment qui me poursuit lorsque l’on me parle de démocratie en 2006...
Salutations.