De la manipulation ou comment prendre des vessies pour des lanternes.
Lorsqu’on parle de « Le bilan positif du colonialisme (français) » serait’il encore nécessaire de le prouver, or n’est visible, dans aucune des ex-colonies, une civilisation conforme à celle qu’on voulut (soi-disant) installer.
Et si d’aucun me répondent « ponts », « routes », « hopitaux » avons nous pris les engagements à la formation permanente ?
Quoi d’une école sans maître et livre, d’hopitaux sans outil et docteur ? Telle est la preuve de l’échec le plus total et de la non positivité de la colonisation imposée et subie.
Et que dire de cette civilisation qu’est la notre qui réfute couramment ce qu’elle a proné 20 ans auparavant, que dire de cette civilisation qui ne prèche que fuite en avant et destruction du milieu aux fins de l’argent-dieu.
De quel droit pouvons nous affirmer que cette civilisation est la meilleure et se doit d’être universelle ?
Où sont les appareils de mesure, les analysomètres de bonheur, les pesogrammes de richesse humaine, les comparographes de valeurs sociales ?
Résolument, la fatuité occidentale est sans borne, oublieuse, perpétuellement nombriliste.
La colonisation, la suprême arnaque, qui permet aux petites gens de croire qu’un jour ils furent glorieux.