@l’auteur
Correctif :
Voici un excellent article dont les développements ne pouvaient se départir d’une certaine longueur.
Peu
importe dès lors que la démonstration est parfaite : il ne s’agit même
plus de la relation que le vassal pouvait entretenir avec son suzerain.
Ce stade est dépassé : il est devenu celui du serf abruti et craintif
vis-à-vis de son seigneur prêt à le tuer s’il vient à quitter le hameau
où il survit.
La conclusion de l’article scelle le sarcophage idéologque de ces clercs qui ont vendu leur âmeà des maîtres qui les méprisent :
« Révérence face au pouvoir, prudence devant l’argent : cette double
dépendance de la presse française crée déjà les conditions d’un
pluralisme rabougri. Mais on ne peut s’en tenir là. Tout un appareillage
idéologique conforte la puissance de ceux qui déjà détiennent autorité
et richesse. La somme des sujets tenus à distance et des non-sujets
matraqués en permanence étend le royaume de la pensée confor