Je me demande si l’auteur ne cache pas une certaine Arabophobie, racisme très développé chez les Chrétiens noirs de Côte d’Ivoire, du Malawi et du Burundi, derrière sa juste dénonciation d’une exploitation de main d’oeuvre, et « d’employés », comme malheureusement on n’en voit trop souvent.