pitié relisez Desproges.... !
son humour n’avait pas une seule seconde l’arrière goût amer de celui de Dieudonné.
il était clairement la critique acerbe d’une partie gentiment raciste et antisémite de la population. Ne pas le comprendre reviendrait à enlever tout second degré à ses textes. Et si vous pensez que Dieudonné aussi parle au second degré, il a alors dû oublier qu’il n’était plus sur scène lorsqu’il a demandé à Jean Marie Le PEN d’être le parrain de sa fille et à Alain Soral d’être un de ses plus fervents soutiens...