Bravo pour cet excellent article qui stigmatise un comportement de dame patronnesse : j’ai mes pauvres, je bouffe chez machin et j’achète chez truc (je ne cite pas de marque : c’est toujours de la pub).
Notons aussi que ces chaînes utilisent cet argument pour détourner l’attention de leurs pratiques d’achats. Elles ont mis à genoux la filière française de fruits et légumes et interdisent l’accès de leurs rayons à de nombreuses PME par des droits d’accès exorbitants.
Il leur suffit d’affecter quelques millièmes de leur chiffre d’affaires à une bonne œuvre pour se parer de l’auréole de l’acteur social responsable.