Bonsoir Monsieur Bilger,
Quel a été votre ressenti précisément lorsque vous avez appris en direct à la télévision, comme nous avons pu le voir, que l’interdiction était maintenue ?
Vous avez semblé être étrangement surpris. Vos interlocuteurs s’en sont gaussés sans comprendre, mais je ne peux m’empêcher de me demander si cette surprise n’était pas également teintée d’inquiétude, voire de peur. Comme si un tel un dysfonctionnement doublé d’une extraordinaire célérité posaient une plus importante question que les seules questions de Dieudonné, la Shoah et la Liberté d’Expression.
Si vous pouvez nous en dire plus sur cet instant troublant, je vous en serais, nous vous en serions grandement reconnaissant.
Mes amitiés.