Libé c’est la gauche facile, celle de Mitterand, celle, un peu, de Jospin.
La gauche est en pleine mutation, et donc, libé galère.
Et si libé ne résiste pas c’est à cause du manque de contenu (qui aurait pu le sauver).
Etre diffuseur d’opinions au jour où l’opinion change : et patatras.
Je ne crois pas au plan Plenel.
Le bon plan pour libé, c’est de faire un libé-golène, car c’est le lieu où se recentre aujourd’hui la gauche : le lectorat se trouve là.