En effet, nous sommes extremement ambigu, c’est autant notre force que notre faiblesse. Avoir conscience de ces ambigutés est déjà un bon point, mais cela necessite un travail mental assez régulier et répété de distinction entre la fiction, nos fictions, la realité, les réalités de l’autre, etc. « Voir clair » n’est pas évident, ce n’est pas notre mode immédiat de « mesure » du monde, avoir conscience est un vrai travail sur soi continuel.