Comme en 56, le gouvernement au pouvoir tente de discréditer les manifestants en les rangeant à « l’extrême-droite ». A l’époque les révoltés étaient appelés des « hordes réactionnaires », maintenant ils les appellent des « hordes fascistes ». Mince différence de méthode. Et cela n’aide pas à comprendre la situation, vue de l’extérieur.