Si on ouvrait les yeux sur la violence inhérente à la nature humaine et particulièrement celles des jeunes mâles.
Je crois qu’il faut éviter de croire que toute violence est nécéssairement une manière d’exprimer un traumatisme, une souffrance, un désespoir. Le gout pour la confrontation est en nous, en particulier les jeunes hommes. Les émeutes s’est la nuit, le feu, le risque et l’adrénaline et en prime la une des journaux !
Quand on aura compris, également, que ce qui compte pour un jeune dès son jeune age ce sont ses pairs, la micro-société dans laquelle son instinct le pousse à s’integrer, on saisira peut être mieux pourquoi une telle escalade dans la violence. N’importe quel gamin injecté dans une société d’enfants violents en souffrira et le deviendra à son tour. cercle vivieux...
Comment arreter ce cercle vicieux ? Probablement réprimer fermement pour introduire une contre-motivation à la violence. Mais aussi, tisser des liens inter-générationels plus denses pour casser ce microcosme adolescent cloisonné.