Un texte très bien écrit (c’est rare sur Avox) mais un peu trop long.
Sur le fond il est représentatif d’une grande naïveté ideologique caractéristique des extrêmes engluées dans le déni de la réalité, car celle-ci est trop complexe.
Et l’extrême-droite c’est au final très peu différent de l’extrême gauche : de l’utopie épidermique qui rejette tout compromis, toute imperfection de la démocratie. Il n’est alors pas etonnant que l’on passe facilement de l’un à l’autre, d’une caricature à l’autre, d’un parti de non-gouvernement à l’autre.
Egalitarisme stérile, anti-capitalisme stérile, etc...