Pour avoir une Europe unie, il ne faut pas que le moindre petit parti détienne une vérité contre les autres, et ne cessent de les dégoiser ; pour avoir une Europe unie il faut des rapports de forces équivalents, donc des disputes, des coups de force, mais des discussions et des évolutions.
Actuellement la politique s’atomise, comme tout dans la vie, l’individualisation ne peut pas servir des buts pour le bien commun. Aux nouveaux venus d’investir les vieux partis et les faire évoluer, s’ils ne peuvent les révolutionner.