Le Ramazan’ est fini. Corps épuisés, âmes fanées, la joie revient ! Les conteurs savent des histoires nouvelles. Les porteurs de vin, les marchands de rêves lancent leurs appels. Mais je n’entends pas celui qui me rendra la vie, celui de ma bien-aimée.
Omar Kayyam ; perse ,philosophe ,mathématicien, poète et accessoirement musulman