« Le même jour, soit le 29 janvier, une dépêche diffusée sur le site web de l’IRIN, un réseau d’information rattaché au Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU, rappelait qu’un rapport dévoilé en 2010 par une organisation de femmes, la Isha le’Isha, établissait que : »57 pour cent des Israéliennes à qui on avait administré le contraceptif Depo-Provera étaient d’origine éthiopienne « alors qu’elles représentent moins de 2 pour cent de l’ensemble de la population israélienne »."