Je repense à une caricature vue récemment.
Lorsque que l’on voit de pauvres gosses trimbalés d’un coin à un autre, se coucher à pas d’heure parce que les parents ne veulent pas « rater » un week-end ou une soirée.
On se dit que, pour les enfants, plutôt que se préoccuper des rythmes scolaires on ferait mieux de se préoccuper des rythmes parentaux.