Où je veux aller ? Sans doute dans une direction qui ne vous convient pas, mais plutôt qu’attaquer le fond vous tentez très maladroitement de vous en prendre à la forme.
L’incohérence de votre commentaire : vous y décelez des « poncifs », des « choses (...) évidenteS » et pourtant vous ne voyez pas où je veux aller... Attaquer tout et son contraire, c’est votre spécialité ?
« des tonnes d’éléments empruntés et assemblés » : empruntés à qui ? Précisez votre accusation. Je me targue d’écrire mes textes tout seul comme un grand, plume dans la main gauche, dans un grand cahier petits carreaux. Celui-ci l’a été hier après-midi au parc de la Tête d’or à Lyon sans personne pour me souffler quoi que ce soit...
Enfin, dernier conseil : avant de vous improviser censeur du style de tel ou tel, apprenez les règles basiques de l’orthographe, de la grammaire et de la construction des phrases :
- Ligne 1 : « ou », avec l’accent puisque c’est un lieu, même s’il est ici conceptuel,
- Ligne 2 : « évidente », avec la marque du pluriel comme tout bon adjectif qui s’accorde avec le nom auquel il se rapporte.
- Ligne 3 : semblENT être avancéS, vous êtes décidément fâché avec les accords basiques. Pour l’ennemi déclaré du poncif évident (un pléonasme bien sûr), c’est ennuyeux !
-Ligne 3 toujours (vous vous surpassez !) : « surprennantes », ouf l’accord est correct : manque de bol pour vous, il n’y a qu’un seul N.
- Ligne 4 : premier « qui pourrait ». Petit jeu : quel est le sujet de ce verbe ? Allez, un petit effort...
- Ligne 5 : second « qui pourrait ». Même question. Remarquons la grosse laideur stylistique dans cette phrase.
Allez, au boulot Marauder ! Vous ne prépariez pas un concours de la fonction publique j’espère...