« Ni César, ni tribun » dit ce vers de l’Internationale, insuffisamment méditée par Mélenchon. Le pb est de débloquer, en l’unissant, le prolétariat de gauche, celui qui, depuis 1789 a été décisif dans toutes les avancées sociales françaises.
Ces camarades, on peut le regretter, sont encore, essentiellement, immobilisés dans l’orbite du PS plus que dans celle de FdG, de Besancenot, d’Arlette ou d’Ariane. Ce n’est pas en les insultant à tous les coins de rue, qu’un de ceux qui les a caressés pendant 30 ans, pour les endormir un max, parviendra à les distancier de la social démocratie de droite !
La conviction n’est pas dans l’invective, elle est dans le raisonnement patient et constructif.