Effectivement c’est assez facile de se plaindre, de dire qu’on n’en fait jamais assez, de réclamer plus.
Quand l’enseignant consacre plus d’énergie auprès des élèves handicapés, de plus en plus nombreux (pas seulement autistes) il en en consacre moins pour les autres, déjà trop nombreux en classe.
Donc on déshabille Pierre pour habiller Paul, ce que condamne l’auteur ... sauf si Paul est autiste.
C’est ça l’école d’aujourd’hui : chacun tire la couverture à soi.