A moins de construire 150 réacteurs nucléaires à surgénération dans chaque pays du monde ( et encore, ça durerait combien de temps ? 100 ans ? 200 ans ? ), on voit bien qu’on va tous retourner au cheval assez vite, au fur et à mesure que le prix des énergies fossiles montera.
Peut-être que quelques pays riches réussirons à garder un parc de voitures électriques alimentées au nucléaire ou en cramant les récoltes ( biocarburant ), mais pour le reste, ça sera retour à la charrette.
Les générations futures parlerons de la petite parenthèse où tout le monde avait son moteur à explosion comme d’une étrange époque ... Et si le climat s’est détraqué d’ici là, ils nous en voudrons surement beaucoup.