@Rage et à l’auteur,
Je le dirai haut et clair : le profit est salutaire. C’est la carotte devant l’âne. Pavlov dans toute sa splendeur.
Oui, absolument, il est nécessaire. Il motive, il fustige les idées neuves.
Donc, ça c’est pour le positif.
Où, cela coince. C’est quand le profit ne génère plus ... le bien de la communauté humaine pour se limiter au plus petit commun dénominateur.
Une bonne entreprise est le fournisseur de bien être pour tous. Dès qu’elle déraille de cet objectif, ce qui se passe très vite dans l’excès à vouloir en faire du bénéf, c’est quand elle oublie qu’il y a des collaboateurs à cette réussite profitable. La Bourse est évidemment le piège majeur. Une fois dans l’engrenage et les rouages de la Grande Dame, il s’agit de faire des bénefs à pourcentage à deux chiffres sous peine de perdre ses actionnaires, c’est la fuite dans les sables d’Egypte. Ces actionnaires, cela peut-être vous ou moi, avec des actions, des fonds de pensions.
Aujourd’hui, les deux chiffres sont difficilement atteints malgré tous les efforts. Tous veulent payer un minimum pour la création de produits.
Alors, 2 règles simples du comment faire du bénéfice :
- augmenter la production et les revenus
- diminuer les coûts
Il n’y en a pas d’autres. La 1ère manière, vite dit.
La deuxième, c’est la solution et tout est bon pour y arriver sans états d’âme.
J’ai une devinette perso là dessus :
« Pourquoi cherche-t-on s’il y a de la vie sur Mars ? »
Réponse :
« Pour voir si, là bas, il n’y a pas des travailleurs à meilleur marché. »
Vive le bénéfice. A+