La prostitution commence dès qu’on vient au monde. Les proxénètes s’appellent : oxygène, digestion, parents, amis, patrie, patron, pulsions, état, enfants, voiture, chocolat, ...
Le sexe continue d’être, bon an mal an, l’un de ces tabous imposé par une majorité d’humains sous-développés dirigés par une minorité d’illusionnistes corrompus, qui empêche d’avancer, donc nous condamne à l’extinction.
Nous sommes décidemment l’état et le peuple le plus hypocrite de la planète.
Soyons fiers comme des coqs de basse cour, car dans quelques temps, nos descendants, s’il en restent, auront honte de notre animoralité et maudiront notre incurie débile.
La politique du balayage sous le tapis a ses limites, tôt ou tard.