Si l’amour était libre et les femmes libérées, il n’y aurait pas de plaisir tarifé.
L’amour est une drogue, il faut donc la pénaliser.
La misère sexuelle nous renvoie en pleine face, l’iniquité violente, fondamentale, et les différences génétiques insupportables entre individus en dépit des oeillères morales et des lavages de cerveaux universalistes pour maquiller le réel : les beaux et riches d’une part, les pauvres et les laids d’autre part. A la fin, il ne peut en rester qu’un...
L’harmonie et la perfection sont incontestablement un déterminant et un but du progrès.
Le non partage et la frustration, sont des facteurs d’exclusion, de barbarie et de conflit à mort.
L’industrie de la porno-beauté, donc de l’aspiration au sexe, fusée intergalactique de nos gènes, ne s’est jamais si bien portée ; elle est même le moteur commercial de toute invention, comme internet.
So let’s fuck to get peace.