Je ne suis pas Charlie non plus, pour toutes les raisons que vous citez dans votre article, mais aussi parce que rien ne prouve qu’il s’agissait bien des preneurs d’otages dans les entretiens téléphoniques obtenus par BFMTV. Rien ne prouve le contraire non plus, certes, mais des décennies de mensonges nous poussent à douter de tout.
En tout cas si j’étais un terroriste, je n’emmènerai certainement pas ma carte d’identité sur moi, ni ne la laisserai négligemment dans une voiture volée recherchée par toutes les polices, et moins encore je n’accorderai d’interview à une télévision pour leur dire qu’aucune autre action n’est prévue par mes « frères d’armes ». Au contraire, je chercherais à donner à mon acte davantage de retentissement : quitte à mourir pour une cause, autant lui donner autant d’éclat que faire se peut.
Ce qu’ils sont bêtes les terroristes de nos jours...