Rappelons que l’objet de la réforme n’est pas l’intérêt des enfants mais, conformément aux incitations de l’UE convertie aux thèses ultra-libérales de « désétatiser » l’école en accablant les communes qui n’en peuvent déjà mais de charges supplémentaires.
Avant dans un deuxième temps de privatiser dans des accords locaux de partenariat public-privé (la grande arnaque habituelle) qui feront enfin du gras pour des actionnaires !
La seule « corporation » qui fait grève « pour les autres », ce sont les enseignants (et parfois les soignants pour les malades) qui défendent, eux, l’intérêt des enfants qui leur sont confiés, à la différence des ministres. Lesquels ont toujours usé d’autoritarisme et de menaces pour briser cette légitime résistance.
Avec Vallaud-Belkacem, rien de nouveau sous le soleil !