« Si, un jour, il m’arrive quelque chose, ne regardez pas vers le
Moyen-Orient, mais vers le nord. Cherchez ce qui se trafique dans les
ambassades. » extrait du discours de Cristina Kichner à l’ONU en 2014.
Cela fait un moment que Cristina Kichner est dans le colimateur de l’Empire. Le « Cristinagate » a un parfum de « changement de régime ».
En 2012 elle avait renationalisé la principale firme argentine de l’énergie YPF au grand dam du pétrolier espagnol Rapsol, un important actionnaire, qui s’était retrouvé exproprié (mais dédommagé).
L’année dernière elle s’était opposée aux « fonds vautours » qui lui réclament 15 milliards de dollars, au lieu des 539 millions d’une dette renégociée.
Toujours en 2014, elle avait fait deux discours incendiaires aux Nations Unies. Un au Conseil de Sécurité, dont Obama, géné, avait dû écourter la séance ; et un autre devant l’Assemblée Générale dont la retransmission fût interrompue par les chaines de TV internationales.
Bref, manque de bol pour les US. Un juge vient de blanchir Kichner dans l’affaire Nisman. Après l’échec d’un coup d’état au Vénézuéla, deuxième camouflet pour les US en Amérique Latine en février... ?
Voyons voir comment les « prestituées » des merdias vont réagir après le discours de Kichner à la nation le 1er mars...