J’avais encore quelque respect pour JPC, le seul énarque qui soit jamais sorti du coma, qui tentait d’avoir une langue de bois malgré tout compréhensible par tout un chacun, en appelant un chat un chat.
Il a signé là sa dernière démission.
J’ai honte pour lui.
Un petit député par-ci, un soutien garanti par là, on retrouve ces sales négociations-promesses pour le pouvoir, les places, et les avantages qui vont avec.
C’est lamentable de se soumettre ainsi, pour quelques honneurs futiles, aux spécialistes du marketing politique qui ont mis SR en avant, comme ils l’auraient fait d’une lessive.