Je n’ai rien contre l’instruction civique:quand un problème se pose j’en fais,ou j’y arrive par le biais de certains textes...
Mais il me semble que quand il s’agit de problèmes graves:agressions violentes sur des « camarades » ou sur des profs,il me semble que nous ne sommes plus dans le champ de l’instruction civique,mais sur le terrain des moyens:combien de « pions » pour assurer la surveillance dans ce ou ces collèges ? Je me doute cette réflexion va encore faire hurler,mais quand je dis moyens,je pense à répartition et non nouveaux....