Encore une triste nouvelle : un collégien est décédé dans un collège à Meaux. L’autopsie révèle que l’enfant de douze ans n’est pas mort roué de coups mais qu’il n’a pas supporté les coups infligés par une fille et un garçon de onze ans.
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C’est quand même formidable de voir les excuses qu’on trouve dès que les auteurs de violence sont de la racaille de banlieue.
C’est pas parce qu’ils l’ont frappé, c’est parce qu’ils l’ont frappé ET qu’il avait une malformation cardiaque. L’excuse de la faute des agresseurs par une faiblesse de la victime, de mieux en mieux.
A ce tarif là, Brahim Bouarram n’est pas mort parce que des skinheads l’ont jeté dans la Seine, il est mort parce qu’il ne savait pas bien nager.