« Sans Internet, et sans les réseaux sociaux, aucun Parti politique anti européen ne peut voir le jour. »
De fait !
Les réseaux sociaux n’en constituent pas moins une des armes de propagande massive les plus abouties de l’Empire.
Car s’ils permettent l’échange, la communication et l’organisation d’une « dissidence », certains réseaux sociaux - les plus populaires - centralisent à peu de frais l’identification de ses membres ou sympathisants,, notamment par un traçage fin des surfs de l’usager : même s’il ne like pas, l’usager est identifié sur chaque site visité qui lui propose par le bouton ad-hoc. Inutile même d’effrayer le chaland en installant de grosses boîtes noires chez son FAI, il suffit à nos chaussures à clous (et aux autres) de demander gentiment les infos désirées, et naturellement verser leur écot !
Ou de l’art de vivre sous l’œil de Sauron (ou Big Brother si vous préférez) !
Salutations !