Le chaos et un système institutionnel de répression sont les armes que nos gouvernants (qui sont au-dessus de nos responsables politiques) vont développer pour faire face à la montée de mouvements populaires qui viendront lorsque notre collapse économique apparaitra.
La dérive du peuple, en Corse, vers les nationalistes mafieux se traduira par un recul de la justice et la généralisation de la violence comme moyen de pression sur les institutions et les personnes, avec pour conséquence la perte de libertés que viendront renforcer les mesures répressives de l’état d’urgence. L’économie en souffrira obligatoirement.
D’une certaine manière cela reproduit cette dramatique faillite politique en Algérie avec la tolérance complice de l’OAS, appuyée et contrôlée par la CIA et dont le but premier était la prise de pouvoir en France et non l’Algérie française qui a été rapidement une utopie politique.
Le futur de la Corse prend ainsi une tournure sombre.