«
Ils s’imaginent souvent que tout s’est mis en place spontanément, alors
qu’on a fait un gros travail d’organisation en amont et que c’est grâce
au soutien d’associations comme le Droit au logement, Attac et
Solidaires que l’on a pu s’installer ici, avoir une sono, etc. »,
explique Lise, instit, membre du noyau dur d’initiateurs.
« Le
problème, quand on part du principe qu’il n’y a pas de chef, c’est qu’on
est aveugle face à celui qui émerge de manière informelle, par exemple
sous l’effet des médias qui repèrent le « bon client ». Comme on ne le
voit pas, on ne se donne pas les moyens de le contrôler par des
élections et des mandats bien définis ».
La culture horizontale doit-elle être le stade suprême de la lutte ? Existe-t-il un fétichisme de l’Assemblée…
legrandsoir.info|Par Laura Raim (Regards).fr