C’est au final un peu se torturer pour rien de croire ou continuer à croire à l’existence d’une entité immanente, omnisciente et omnipotente.
Car on peut tout aussi bien faire le chemin de la transcendance en se libérant de tout le story telling établi par l’histoire humaine.
Cette transcendance peut se faire par le chemin d’une pensée rationaliste qui amène, avec les apports de la science associée à la philosophie à voir la conscience et la pensée comme quelque chose qui échappe quoi qu’il arrive bel et bien au hasard, à l’entropie et au chaos.
Par là même l’existence de la conscience, attribut particulier de notre espèce humaine est de se représenter l’univers dans sa complétude, de pouvoir estimer que ce que l’on veut nommer Dieu n’est ni plus ni moins que l’expression de tout ce qui existe dans toutes ses acceptions.
Par la même il n’est de vérité/solution/transcendance que celle de l’expérience de la vie, de la connaissance et d’une nécessité de vivre en harmonie pour toucher au bonheur, non plus comme promesse faite à celui qui pense bien, mais simple résultante de l’ensemble de tous les sentiments, émotions, et cognitions harmonieuses expérimentales et expérimentés comme tels.
En fait l’enjeu c’est de se comprendre et de comprendre que l’homme n’est que partie d’un tout dans lequel il doit trouver sa place.
J’en ferai en tout cas pas une thèse et encore moins un évangile ou une sourate, je le propose juste comme je le sens et le pense