A l’auteur.
Et oui, traiter de la sorte l’histoire de France et les Français est bien le propre de ces gouvernements successifs dont le seul objectif est à n’en plus douter de nous rayer de la carte. Au sens propre comme au sens géographique (voir la création de nouvelles régions sans assise historique). Je les mets au défi de commémorer une énième fois la shoah, à simple titre d’exemple, un évènement qui n’appartient pas à l’histoire de France, mais à celle de l’Allemagne, avec un concert de rap du même acabit ! Ah, non, c’est vrai, l’avant-garde de la république, pour reprendre les propos du premier ministre, ne peut pas être traitée comme l’arrière-garde figurée ici par nos arrières grands-pères, les poilus de Verdun. Il est vrai que le premier ministre lui même n’est pas français, alors qu’en a-t-il à faire de notre histoire et de Verdun ? et qu’en a-t-il à faire de notre futur ?