Pendant cette campagne électorale, si beaucoup ont insisté lourdement sur le fait qu’il était musulman, j’en ai vu peu qui auraient évoqué (tant qu’on y était) les origines hébraïques de son adversaire, ce qui aurait probablement soulevé un tollé.
D’un côté, un fils d’immigrés pakistanais, pur produit de la méritocratie à l’anglaise, de l’autre, un fils de milliardaire qui n’a pas réussi grand-chose. Les londoniens ont vite choisi.